Lina Dürr s’occupe depuis longtemps de sa soeur jumelle. Toutes deux sont extrêmement reconnaissantes envers la Ligue pulmonaire Est pour son soutien.

Dragica Deicha a fumé pendant trente ans. Pour arrêter, elle a tout essayé : hypnose, patches de nicotine, magnétiseur... En vain. Jusqu’à ce qu’elle y arrive enfin et ressente un formidable sentiment de liberté. 

Grâce aux séjours bol d’air, les personnes atteintes de maladies pulmonaires et des voies respiratoires peuvent passer des vacances en toute sérénité. Une croisière sur le lac des Quatre-Cantons permet de réaliser à quel point ces moments sont précieux.

Les arrêts respiratoires nocturnes ne touchent pas seulement les personnes âgées : des enfants et de jeunes adultes peuvent eux aussi en souffrir. Or leurs symptômes sont souvent ignorés ou mal interprétés. Notre entretien avec le jeune Pirmin, âgé de 19 ans, montre de façon impressionnante à quel point un diagnostic adéquat et un traitement professionnel sont essentiels.

L’histoire qui suit montre que l’on peut faire preuve de résilience et croquer la vie à pleines dents même lorsqu’on a de plus en plus de mal à respirer.

Simon Burkhalter souffre de myopathie de Duchenne, une maladie qui affaiblit progressivement ses muscles et qui touche maintenant aussi sa musculature respiratoire. Il doit donc être ventilé de jour comme de nuit. Malgré tout, il souhaite inspirer les autres : « Il y a toujours un moyen. » 

Dans le ventre de sa mère, Timo a souffert d’une hémorragie intracérébrale qui a endommagé des nerfs essentiels. Heureusement, la « team Timo » lui a permis de survivre. Tanja Schärli, de la Ligue pulmonaire, en faisait partie.

Timothy dort systématiquement avec un appareil qui surveille sa saturation en oxygène car il souffre d’apnées centrales du sommeil – comme sa sœur et sa mère Rebecca. Quand elle était pe-tite, cette dernière a été traitée avec de la caféine.